Discussion entre mari et femme(pv Caïus et Dora)

Ce matin-là, j''étais levé très tôt et je n'avais point dormi,car je ne dormais jamais comme tous les vampires d'ailleurs. Je me lève doucement de mon lit et me dirige vers la fenêtre tout en levant les rideaux afin de regarder le temps qu'il fessait, le temps était tout simplement parfait et il fessait beau, ce qui, me donner le sourire.Je décide d'aller me préparer et de mettre ma robe rouge puis une fois prête, je me pose sur mon lit tout en lisant un livre en attendant mon époux qui devait venir me voir. Il était l'amour de ma vie et malgré ce qui s'était passé entre nous, je ne pouvais pas lui en vouloir, même si j'ai encore du mal au fait qu'il m'a frappé. Cependant, je sais qu'il est souvent en colère et ça c'est depuis toujours, pourtant il n'est pas si méchant que ça, et je lui pardonne à chaque fois, car je l'aime et que c'est mon roi.

J’espérais, seulement que notre journée allaient bien ce passé et que nous allions enfin faire le point et profiter de notre amour comme avant, mais j'aimerais aussi pouvoir sortir du château, car je n'aime pas trop rester enfermer et être protéger par les gardes, même si c'est leur boulot.Cependant, didyme me manquait tellement que j'aurais voulu qu'elle soit encore avec nous, nous étions très proches toutes les deux et j'adore aussi ma sulpicia, qui est toujours là pour moi, lorsque je suis mal et je sais, que je peux compter sur elle, comme je le fessais avec didyme.

Je décide de poser mon livre et me lève tranquillement, lorsque j'enttends la porte s'ouvrir s'était mon mari, je lui souris et lui dit.


-Mon cher mari tu es enfin là, comment vas-tu ?Demandais-je en souriant.

J’attendais sa réponse, mais j'étais heureuse de le voir et que nous puissions être enfin ensemble et parler comme avant, même si nous le fessions souvent, au fond je sentais que j'allais passer une excellente journée, aujourd'hui et j'avais hâte de voir la suite du programme.


[Edit Jane : Dis, ta première phrase est un peu bizarre.^^ Les vampires ne dorment pas.]

La querelle familiale venait de se calmer un peu pour Caïus. Il quitta donc rapidement ses frères et se dirigea vers ses appartements pour rejoindre son épouse. Le Volturi n'en revenait pas de s'en être pris à sa femme. Comment avait-il pu la frapper, la maltraitée de la sorte ... L'Italien avait d'une certaine manière honte de lui-même. Il s'était cependant résolu à quelque chose pour se faire pardonner. Caïus allait prendre sur lui, mais sa femme allait être ravit. Sa charmante épouse risquait de planer au septième ciel.

Il s'approcha d'elle sans vraiment entendre ce qu'elle venait de lui dire. Caïus la prit alors par la main et la conduisit sur le balcon privatif. Ils ne pouvaient pas être vu des humains depuis cet endroit de Volterra. Le maitre de la garde embrassa tendrement sa femme. Il essayait de lui faire passer son remord d'avoir levé la main contre elle.

Il souleva sa femme et la posa sur le lit qui était situé en plein milieu de cette terrasse/balcon. Le Volturi avait bien décidé de se faire pardonner. Il déshabilla donc sa femme et lui fit vivre des plaisirs qu'elle n'avait pas connue depuis bien longtemps. Après trois bonnes heures d'intimité, Caïus se leva, se rhabilla, puis se tournant vers sa femme qui venait de faire la même chose il lui dit.

Caïus : - J'ai décidé d'adopter un enfant. Je sais que tu attends cela depuis longtemps. Nous venons de recueillir à la garde un pauvre malheureux de seize ans. Un certain Orlin Evans. Je ne puis accepter de le voir sans famille. Aussi ma tendre épouse, je souhaiterais l'adopter et je l'ai fait monter à nos appartements pour que tu puisses le rencontrer.

Caïus venait d'une certaine manière de mentir à sa femme sur ses sentiments vis-à-vis du garçon, Orlin. Cependant il savait que cela plairait à sa femme. Qu'elle ne pouvait pas refuser un élan de bonté de son mari.

Le garçon entra alors dans les appartements. Il ne savait pas très bien pourquoi Caïus l'avait fait appeler. Orlin se souvenant plutôt bien de la correction qu'il avait reçue lors de son entrainement. Caïus se tourna alors vers lui et lui dit pour lui présenter Dora.

Caïus : - Orlin, moi et ma femme, Dora, avons décidé de t'offrir un foyer. Acceptes-tu de devenir notre enfant ? Cela plairait beaucoup à mon épouse et te permettrait de t'intégrer rapidement dans notre « famille » de Volterra. Si tu acceptes tu rejoindras nos appartements pour loger avec nous bien sûr. Tu devras m'appeler père et me vouvoyez. Après concernant Dora, c'est elle qui choisira. Je n'imposerais que le vouvoiement, après elle décidera comment tu pourras l'appeler.

Caïus sourit, son épouse avait l'air d'être aux anges.

Caïus attendait Orlin, dans ces appartements privés. Cette simple phrase retourna les tripes du jeune vampire. Il avait l'impression de se rendre au bureau du proviseur, enfin, vu qu'il venait d'un institut catholique, il avait l'impression de se rendre chez le père supérieur. Qu'avait-il encore bien pu faire de répréhensible. Décidément il ne comprenait pas grand-chose à ce monde de dingues. Il n'avait jamais vu les appartements des maitres du château. Quoi de plus normal après tout. Il imaginait l'appartement d'Aro comme ressemblant aux appartements de Louis XIV à Versaille, de belles enluminures, un grand lit deux places, quelques fauteuils, un bureau, un appartement digne d'un roi en quelque sorte. Il imaginait celui de Caïus comme une chambre de seigneur médiéval. Des haches et des épées ornant les murs, quelques tapisseries et une cheminée. Il voyait celui de Marcus comme quelque chose de plus simple. Un lit double, une chaise, un bureau. Difficile d'imaginer autre chose.

Il arriva au pied de l'escalier qui menait à la chambre. Il monta, anxieux. S'il était encore humain, il transpirerait à grosse goutte. Il arriva juste devant la porte. Il hésita un moment, finalement il frappa et il ouvrit doucement, précautionneusement la porte. Il entra. Caius se tenait au milieu de la pièce au bras d'une femme. Une belle femme en plus. Ça vue fit remonter des souvenirs douloureux à Orlin, l'image se mère lui était revenue en pleine figure d'un coup ! Quel choc ! Il était complètement déstabilisé et mal à l'aise, et ça il n'aimait pas du tout. Il fronça les sourcils plusieurs fois comme pour se débarrasser de cette vision surréaliste.

Caïus
Orlin, moi et ma femme, Dora, avons décidé de t'offrir un foyer. Acceptes-tu de devenir notre enfant ? Cela plairait beaucoup à mon épouse et te permettrait de t'intégrer rapidement dans notre « famille » de Volterra. Si tu acceptes tu rejoindras nos appartements pour loger avec nous bien sûr. Tu devras m'appeler père et me vouvoyez. Après concernant Dora, c'est elle qui choisira. Je n'imposerais que le vouvoiement, après elle décidera comment tu pourras l'appeler.

PARDON !? Cette phrase serait sorti d'un coup sans son grand self-control. Avait-il bien entendu la proposition de Caïus !? Il se mit à réfléchir à toute vitesse *Il est sérieux, habité dans ses appartements avec lui et sa femme !? Pire ! Devenir leur fils ! Leur fils...* A cette pensée, Orlin eut une nouvelle fois l'image de sa mère en tête. Elle ressemblait à la femme de Caïus, et elle lui manquait, mais alors elle lui manquait, affreusement, terriblement. Il donnerait tout pour la faire revenir auprès de lui. Vu sous cet angle, c'est ce que Caïus lui offrait.

Orlin
Je..heu...

Mais allaitt-il pouvoir supporter de vivre comme ça, avec Caïus, le côtoyer de très près chaque jour pour l’éternité. Il allait devenir son père. Mais qu'est-ce qu'un père ? Orlin ne pouvait répondre à cette question. Il ne voyait jamais le sien, il ne s'était jamais entendu dire "Mon chéri" ou "Je t'aime". Ces petites phrases pourtant si banales. Même si sa lui semblait tout aussi illusoire venant de Caïus cette simple perspective était trop belle : avoir un vrai père qui l'aimait.
Il hésitait, cherchant une issue. Puis il croisa le regard d'Athenodora ; là, il craqua...

Je...J'accepte...père