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 Isabella Marie Swan Cullen [Validée]

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Riza Mustang

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Riza Mustang


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Isabella Marie Swan Cullen [Validée] Empty
MessageSujet: Isabella Marie Swan Cullen [Validée]   Isabella Marie Swan Cullen [Validée] EmptyLun 24 Juin 2013 - 15:25



Isabella Marie Swan Cullen





Résidence : Au Népal, dans le Chalet Blanc ou le Cottage.
Clan : Clan d’Olympic.
Age : 18 ans.
Age de transformation : 18 ans.
Genre : Femme
Situation sentimentale : Mariée à Edward M. Cullen.

Caractère

Qualités :
Une qualité que l’on retrouve chez Bella est son intelligence. Elle peut trouver une solution plutôt excellente à tout problème se posant devant elle. Elle est également protectrice, prête à se sacrifier pour les gens qu’elle aime, préférant mourir à la place d’un être cher que mourir pour « rien » et faire de la peine plus qu’il n’en faut. Elle est marrante selon son entourage et est très mature et forte, ce qui lui permet de se débrouiller toute seule lorsqu’elle arrive quelque part. On l’entend souvent dire qu’elle est même plus mature que sa mère de part les agissements de cette dernière et elle se débrouille très bien en cuisine. Son esprit est très ouvert, elle ne rejette pas les théories qu’on lui propose s’il existe des preuves. Ce qui nous amène à son courage. Endurer la souffrance sans rien dire est une chose qu’elle fait souvent et elle a peut-être peur, mais restera silencieuse, se montrant courageuse. Pour conclure son caractère « humain », Bella est empathique et sensible. Elle ressent fortement les sensations des autres et peut se sentir très mal si les personnes la côtoyant ne sont pas bien.

Depuis sa renaissance, Bella est également devenue une véritable mère-poule à l’égard de sa fille, Renesmée. Elle ne veut pas qu’il lui arrive quoi que ce soit, que ce soit à elle ou aux autres Cullen. Ayant la conviction d’avoir été un poids lorsqu’elle était humaine vu qu’ils devaient sans cesse la protéger, Bella s’y met à son tour et essaie de leur simplifier la vie le plus possible, quitte à devoir s’exiler lorsqu’elle n’est pas bien. Ce sont, ici, les seules émotions qui se retrouvent exacerbées depuis sa transformation. Enfin, apparemment… Elle n’a que quelques mois, après tout.

Défauts :
Un défaut qu’on ne peut nier est sa maladresse, même si Bella est beaucoup plus « douée » et gracieuse depuis sa transformation. La preuve, il ne lui fallut pas moins de trois mois pour apprendre à maîtriser sa force afin de ne pas décrocher les poignées des portes en voulant les ouvrir ! Convaincue que cette tare l’a suivie jusque dans sa vie actuelle, la jeune femme pense qu’elle est maladroite et que ses nouvelles capacités n’y changent rien. Et, vous savez ce que l’on dit : si on le pense, ça finit toujours par arriver. En revanche, une chose qui n’a pas changé par rapport à sa vie humaine, en rapport avec sa maladresse, est que Bella est un véritable aimant à catastrophes. Les Cullen ne peuvent pas la laisser seule… Pas encore, du moins.

Bella se voit également « mal », elle n’a pas confiance en elle et ne comprend même pas comment Edward peut être amoureux d’elle, même si elle sait qu’il l’aime étant donné qu’il l’a épousée – et a fortement insisté pour qu’elle accepte, qui plus est.  Il faut dire que Bella a une légère tendance à la déprime et elle est pessimiste, même si sa nouvelle vie commence à lui faire voir les choses autrement. Il lui faudra seulement un moment avant de ne plus penser cela vu que, d’un côté, c’est à cause d’elle si les Cullen ont dû quitter Forks, c’est à cause d’elle si Charlie est malheureux aujourd’hui. Mais cela, elle ne l’avouera jamais à Edward.

Un autre défaut est qu’elle est têtue. Très. Quelque soit le moyen pour arriver à ses fins, elle l’utilisera et elle l’a déjà montré à maintes reprises pour éviter les Cullen, en particulier Edward et Jasper qui parviennent à la griller en moins de cinq minutes. Une technique qu’elle pratique pour s’en tirer, souvent, en plus de faire des coups bas, est l’art du sarcasme lorsqu’elle parle, sans pour autant le faire exprès à certains moments.


Goûts

Pour définir son caractère, parlons de ce que Bella aime ou non. Mais commençons par le positif : Bella aime Edward, ce qui tombe sous le sens, et les Cullen. Elle ne peut vivre sans lui et se sent morte s’il n’est pas à ses côtés. Elle adore le Soleil et sa chaleur, Phoenix par conséquent, sa mère et entendre Edward jouer du piano. Elle aime son père et la solitude et la littérature (surtout Jane Austen), c’est d’ailleurs pour cela qu’elle s’entend bien avec lui comme il n’était que rarement à la maison et ne parlait pas beaucoup lorsqu’elle vivait encore à Forks. Sans oublier, elle aime les beaux paysages, les chiens, les grandes villes… Tout endroit où elle peut rêver, s’émerveiller, profiter. Mais le plus important est que Bella aime Renesmée, autant qu’Edward, mais d’un amour différent. Elle représente la concrétisation de son bonheur, le rêve qu’elle n’osait pas avouer à son cher et tendre. Elle donnerait sa vie pour elle, comme toute mère en somme.

A contrario, Bella déteste l’humidité et donc Forks. Elle déteste le sport et donc le volley, danser, les bals. Pourquoi ? Car elle n’a jamais su danser, Edward la porte sur ses pieds lors du bal de fin d’année. Elle n’aime pas non plus les maths, les gens de son âge, qu’on l’appelle Isabella (Bella en fait donc la remarque dés son arrivée à Forks) et la vue du sang ou les piqûres bien qu’elle ignore son dégoût du sang pour se nourrir. Sans oublier sa répugnance quant à Roméo dans la pièce de Shakespeare, elle le trouve tout simplement idiot et lâche car il abandonne tout, sans s’accrocher à son bonheur. Tout cela concernait son lycée, plus particulièrement.

Dans un espace plus large, on peut constater que Bella ne supporte pas le dimanche et les vacances de Pâques. Elle s’arrange toujours pour quitter la maison, sortir lors de cette période pour respirer… Ou alors elle passe son temps à travailler. Mais le dimanche est un jour noir pour Bella. Elle a en horreur les cadeaux et les surprises car cela signifie se mettre en avant, que tout le monde la regarde et... Prendre une année de plus, ce qui la rapproche d’Edward. Ou l’en écarte. Elle déteste particulièrement les cadeaux depuis son dernier anniversaire en tant qu’humaine qui a failli lui faire perdre Edward – et la vie – pour de bon. Oh, n’oublions pas un détail non négligeable ! Bella n’aime pas la mode, le maquillage, le mariage, le… Vous avez saisi ? Parfait.

Pour terminer, Bella déteste les Volturi (exception faite pour sa mère) et se faire trimballer à gauche et à droite comme un vulgaire sac de pommes-de-terre. Depuis qu’elle a rencontré Edward et les Cullen, ils ont la fâcheuse manie de la transporter au gré de leurs envies même si elle refuse. Nouvelle-née ou pas, fragile ou pas, elle a comme l’impression que cela n’a strictement rien changé…


Physique

Bella a une taille raisonnable et un poids correct. La couleur de sa peau est blanche comme pour tout vampire. En lien avec sa transformation, elle est forte, gracieuse, sa peau est froide et dure comme du marbre. Enfin, toutes les caractéristiques corporelles d’un vampire, quoi ! Revenons à Bella, maintenant. Elle possède un certain charme qu’elle ignore et qui fait succomber Edward. Venons-en au visage. Ce dernier est en forme de cœur et les yeux de Bella sont d’une couleur chocolat, noisette ou brune selon les personnes et les reflets du Soleil lorsqu’elle porte des lentilles, orangée lorsqu’elle n’en porte pas, et son regard est profond. Quant à ses cheveux, ils sont ondulés, descendant jusqu’à sa poitrine, et leur couleur est brune ou rousse, variant avec le Soleil.

Autre petit point à préciser, son style vestimentaire. Elle reste simple et s’habille selon ses envies, pouvant être féminine ou garçon manqué malgré les soupirs d’Alice qui arrive, parfois, à lui imposer des vêtements. Il ne faut pas oublier que cette dernière a pris le soin de refaire toute la garde-robe de Bella lorsqu’Edward et elle sont partis pour leur lune de miel. Mais attention, même si la jeune femme n’aime pas la mode pour le plus grand désarroi de sa chère belle-sœur, ce n’est pas pour cela qu’elle ne prend pas soin d’elle-même car elle passe du temps dans la salle de bains tous les matins même si cela est devenu presque inutile à présent.


Relations

Charlie Swan :
Son père, chef de la police. Elle l’aime et ne veut pas le faire souffrir, elle ne veut que le protéger et pense qu’il ne peut se débrouiller tout seul. C’est pour cela que Bella décide de le rejoindre pendant que sa mère et Phil ne sont plus à Phoenix. Son père représentait sa seule famille, après deux ans passés à Forks. Il était là lorsqu’elle déprimait, là lorsqu’elle pleurait et hurlait dans son lit au moment de sa rupture avec Edward. Il ne l’a jamais laissée tomber… Alors qu’elle, si. En partant de Forks, en abandonnant tout pour Edward et les Cullen, elle l’a fait souffrir et ne se le pardonne pas. Bella ne se le pardonnera peut-être jamais, d’ailleurs. Mais, encore une fois, cela, elle ne le dira jamais aux Cullen qui risqueraient de la harceler jour et nuit pour la faire changer d’avis, ou pour lui faire cracher le morceau tout simplement.

Renée Dwyer Volturi :
Sa mère, ancienne institutrice. Bella partage beaucoup de choses avec elle, notamment son sens de l’aventure. Elle s’est habituée à bouger même si elle voit surtout les défauts de sa mère. Mais elle l’aime. Plus que tout. Sa mère est protectrice, tout comme son père. Naturellement, Bella désapprouve son mariage avec Marcus Volturi mais Carlisle a plus ou moins réussi à la convaincre de la sécurité de Renée. Depuis, la jeune femme essaie de passer outre leurs clans opposés, gardant en mémoire qu’il s’agit de sa mère, la seule personne de sa famille « humaine », la seule personne qui lui reste et qui la comprend, la connait… Renée a connu la Bella « avant Edward » et la Bella actuelle, on ne peut remplacer une mère aimante à ce point lorsque l’on a tout perdu. C’est aussi pour cette raison qu’elle a tenu à donner une partie de son prénom à sa fille, comme pour lui rendre hommage, pour garder symboliquement une partie de sa mère constamment avec elle. Néanmoins, jamais elle ne pourra le dire à sa mère car dévoiler ses sentiments, en parler, n’est pas le fort de Bella – trait de caractère qu’elle a hérité de son père.

Lilwen Volturi :
Lilwen est la demi-sœur de Bella, née de l’union entre Renée et Marcus. Bella ne l’aime pas, mais alors là, pas du tout car, pour elle, Lilwen lui a pris tout ce qu’elle avait et aura tout ce qu’elle-même n’a jamais eu : une famille unie et une mère responsable. A son sens, c’est la jeune Volturi qui est responsable de l’emprisonnement de sa mère, c’est à cause d’elle si Renée ne pourra plus jamais échapper aux Volturi. Peut-être que sa demi-sœur n’a rien fait, mais… Les rares fois où Bella a eu l’occasion de la voir lui ont laissé un avis négatif. Après tout, c’est à cause d’elle si sa mère l’a giflée, à cause d’elle si Renée a été blessée lors de leurs « retrouvailles ». Qui plus est, elle est capricieuse… Incroyablement capricieuse. Et, même si Renée semble l’aimer, comme toute mère en fait, Bella, elle, ne l’apprécie pas du tout. Mais cela, la jeune femme n’est pas prête à le dire à sa mère qui serait capable de la sermonner durant des heures pour la convaincre.

Carlisle Cullen :
Carlisle est la personne qu’elle respecte le plus, chez les Cullen. Son avis compte beaucoup pour Bella, il est comme un deuxième père pour la jeune femme. Lors du vote pour savoir s’il l’acceptait dans la famille ou non, elle avait secrètement prié pour qu’il ne la refuse pas, sans quoi, elle se serait sans doute rétractée. Cependant, malgré sa considération de Carlisle, Bella ne peut nier qu’il l’intimide et qu’elle a peur de lui parler, préférant tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de dire quoi que ce soit. Il ne s’énerve pas souvent, voire pratiquement jamais, et elle le sait, mais… Il y a quelque chose, chez lui, d’extrêmement impressionnant qu’elle ne saurait expliquer. C’est pour cette raison que Bella continue à le vouvoyer, même si elle fait partie de la famille à présent.

Esmée Cullen :
Bella apprécie beaucoup Esmée qu’elle voit comme étant une personne douce et aimante, dévouée pour ses enfants. Elle connait son histoire et, par conséquent, explique sans difficulté le caractère maternel qui se ressent lorsque l’on regarde la femme de Carlisle. Bella ne lui a jamais beaucoup parlé mais, les quelques fois où elles ont eu l’occasion de parler sans être dérangées ont suffi pour que Bella la considère comme une deuxième mère… Ou un lien s’en rapprochant, néanmoins. Elle a été là pour la conseiller lorsqu’il y avait des décisions à prendre, lorsqu’il y avait un quelconque danger dans les parages, ou encore lorsque Bella ne pouvait parler à Renée à cause du secret qu’elle gardait.

Edward Cullen :
Sa moitié. Son amour. Son âme-sœur. Elle l’aime et ne peut vivre sans lui, elle se sent mal lorsqu’il n’est pas là et sa seule présence la rassure. Dés qu’il est dans son périmètre de « sensations », elle se sent mieux et sent tous ses soucis la quitter. Elle ne sait jamais à quoi s’attendre, il la surprend toujours et elle est rassurée car il ne peut lire dans ses pensées. Même s’ils ont connu des périodes difficiles, même s’ils ont rompu pour « son bien », Bella n’a jamais cessé de l’aimer et se raccrochait à ses hallucinations pour rester envie, pour ne pas l’oublier. Elle allait même jusqu’à se mettre en danger dans le seul but de le voir, de l’entendre… Le jour de sa chute de la falaise, elle voulait mourir, mais en beauté, le voir une dernière fois avant de mourir car vivre sans lui était impossible.

Alice Cullen :
Avant sa transformation, Bella considère déjà Alice comme une sœur, elle est sa meilleure amie, celle à qui elle confie tous ses secrets. Elle n’arrive pas à imaginer une journée sans la voir, pensant sans cesse à elle et souhaitant lui parler dés que possible si elle a la moindre petite nouvelle à annoncer. Bella trouve Alice cruellement gracieuse, gentille, toujours de bonne humeur. Elle a l’impression d’être une véritable tache à côté d’elle. Son mariage avec Edward n’a fait qu’officialiser le lien qu’elle avait avec Alice, donnant à cette dernière un prétexte supplémentaire pour refaire la garde-robe de Bella.

Jasper Cullen :
Jasper est le Cullen qui a le plus surpris Bella, mais aussi le plus chiant de tous. Malgré sa réaction lors de l’anniversaire de Bella, elle l’apprécie beaucoup et l’admire pour tout ce qu’il a traversé même si elle n’en connait que les grandes lignes, racontées à la va-vite pour un débriefing avant une attaque à Forks. Mais ce n’est pas pour cela qu’il est celui qui l’a le plus surpris… C’est plutôt dans lors du sermon qu’il lui a destiné lorsque Bella était coincée à l’hôpital après le piège de Mya. Jamais la jeune femme n’aurait cru que Jasper pouvait tenir à elle, ne serait-ce qu’un peu, et ce ne fut là que la première démonstration de cette appréciation. Bon, d’accord, le lien qu’elle a avec Edward y est sûrement pour beaucoup… Surtout qu’il est le seul à qui Bella ne résiste pas, son bouclier étant inutile face à Jasper. D’ailleurs, son don est une vraie plaie et elle le traite souvent de tricheur lorsqu’il manipule ses émotions pour la faire parler ou accepter quelque chose, ou lorsqu’il enseigne des ruses à Edward pour la coincer. Mais, en dépit de tout cela, Bella l’apprécie énormément et bénit son don dans les moments les plus délicats.

Emmett Cullen :
Emmett… Il s’agit du grand frère que Bella n’a jamais eu, mais pas le grand frère « protecteur » dans le même style que Jasper. Lui est plutôt déconneur, le premier à charrier Bella lorsqu’elle casse un truc ou se casse la figure. Il est là lorsque quelqu’un veut s’amuser, là lorsqu’il faut détendre l’ambiance sans tricher, là pour proposer des idées plus farfelues les unes que les autres. Il est toujours de bonne humeur et c’est ce qu’apprécie le plus Bella chez lui, bien que cela soit légèrement exaspérant lorsque l’on veut être tranquille. Il ne rate jamais une occasion pour la faire rougir… Du moins, lorsqu’elle était humaine. Encore une chance que cela ait changé et qu’il ne puisse plus voir son embarras !

Rosalie Cullen :
La relation que Bella entretient avec Rosalie est particulière. Jusqu’à avant son accouchement, Rosalie la détestait et avait même voté contre son intégration à la famille. Mais… Dès que Bella fut enceinte, elle était la seule personne à la défendre face aux Cullen et, connaissant son passé, elle en avait honteusement profité. Mais c’était pour sauver Renesmée, alors tout est racheté, non ? Et puis, de toute façon, les Cullen n’ont jamais remis cela sur le tapis, ayant sans doute oublié le coup bas de leur protégée. Depuis cela, Rosalie est beaucoup plus agréable avec Bella et ne semble plus spécialement la détester. Certes, elles ne partagent pas de choses ensemble, n’ont pas d’atomes crochus mais… Elles se respectent et ne se tapent plus dessus comme autrefois.

Renesmée Carlie Cullen :
Sa fille. Son sang. La preuve de l’amour qu’elle éprouve pour Edward, résultat de semaines particulièrement difficiles qui ont failli lui coûter la vie. Renesmée est la fille que Bella n’aurait jamais cru avoir, elle est comme son « petit miracle » alors qu’elle s’était fait à l’idée de ne jamais avoir d’enfant. Dès l’instant où elle a réalisé qu’elle était enceinte, Bella l’a aimée, l’a chérie, l’a défendue de toutes ses forces. Jamais elle n’aurait cru cela possible un jour et, pourtant, Renesmée est là, en chaire et en os et la jeune maman ne compte pas l’abandonner de sitôt, encore moins arrêter de la couver. Sa naissance aura réveillé un instinct surprotecteur de Bella envers sa fille, sa famille, mais cela ne lui importe guère car leur sécurité est ce qui prime par-dessus tout.

Jacob Black :
Lorsqu’elle était humaine, Jacob était son meilleur ami mais Bella l’aimait aussi. Lors du départ soudain d’Edward, Jacob était le seul à réussir à lui redonner le sourire. Il lui apportait de la chaleur, du bonheur, l’aidait à surmonter ce qu’elle vivait. Le seul petit point noir était qu’il était amoureux d’elle. Il détestait Edward car ce dernier avait Bella pour lui alors qu’il l’avait fait souffrir, que c’est à cause de lui si Bella était aussi mal pendant tout ce temps. Mais il était le meilleur ami de Bella. Elle ne pouvait l’abandonner, ne pouvait vivre sans qu’il ne soit présent dans sa vie. A présent les choses ont changées. Depuis sa transformation et son départ de Forks, depuis que Jacob les a retrouvés, il y a comme une barrière invisible qui s’est installée entre eux. La seule amélioration, d’un côté, est son imprégnation pour Renesmée, ce qui signifie qu’il n’aime pas Bella et ne l’a peut-être jamais aimée de la même manière qu’Edward. Seulement… Elle n’oublie pas les paroles qu’il lui a prononcées, ce qu’il lui a dit au sujet de sa possible transformation : elle deviendrait son ennemie. Il n’a jamais démenti cela… C’est pourquoi Bella ne le considère plus réellement comme son meilleur ami, mais uniquement comme un ancien ami… Ou un étranger.


Histoire

Vie humaine :
Isabelle Marie Swan est née le 13 septembre 1987 à Forks. Elle y a vécu avec sa mère, Renée Swan, et son père, Charlie Swan durant… Trois mois. Tout se passait plus ou moins bien jusqu’aux trois mois de Bella où sa mère a dit à Charlie qu’elle ne supportait plus cette façon de vivre, que tout était trop monotone et trop gris, qu’elle ne voulait pas rester coincée ici plus longtemps. C’est à partir de là que tout dégénéra et qu’une vie mouvementée s’annonça pour Bella. Renée emmena sa fille avec elle et elles déménagèrent à Downey pour vivre avec sa grand-mère. Plus tard, Renée déménagea avec Bella à Riverside dès qu’elle eut décroché son diplôme dans l’enseignement et décroché un emploi dans une école maternelle. A ses six ans, elles emménagèrent à Phoenix, en Arizona.

A partir de là, Bella retourna à Forks voir son père tous les étés, pendant un mois. Elle passa du temps avec Rachel, Rebecca et Jacob Black, enfants de Billy Black (meilleur ami de son père). Elle les trouvait sympas, oui… Mais cela s’arrêtait là. Bella n’aimait pas Forks, que ce soit son climat pluvieux ou le fait que la ville soit aussi petite. Elle aimait les grandes villes, même si elle ne bougeait pas beaucoup. C’est pour cela que, à partir de ses quinze ans, son père venait passer ses vacances en Californie pour continuer à la voir.

Plus tard, Renée rencontra un autre homme nommé Phil Dwyer, un joueur de baseball qui voyageait beaucoup. Ils se marièrent le mois de son dix-septième anniversaire. Phil décrocha un boulot à Jacksonville pendant que Renée restait avec Bella pour ne pas la laisser seule. Cependant, la jeune fille voyait bien que sa mère n’était pas heureuse, qu’elle aurait voulu rester avec Phil et l’accompagner sur la route pendant ses semaines de « jeu ». Elle insista donc auprès de sa mère pour qu’elle accompagne Phil, qu’ils continuent sans elle, disant qu’elle était grande et qu’elle rentrerait à Forks le temps qu’ils trouvent un logement assez grand pour l’accueillir. Nous sommes en 2004, une nouvelle page se tourne.

2004. Forks… Le climat était bien différent de Phoenix. Pluie, pluie et pluie. C’est simple : tous les matins, notre étudiante jetait un regard dehors dans l’espoir d’apercevoir un rayon de Soleil, mais était très vite déçue. Au seul lycée de Forks, tout le monde la connaissait déjà. Elle qui voulait faire une entrée discrète, c’était raté. Elle trouva vite un groupe où s’incruster et c’est pendant un « repas » à la cantine qu’elle le remarqua. Edward Cullen. Il était étrange, ne mangeait pas, ne buvait pas et s’éclipsait les jours de Soleil.

Oui, mais voilà. Lorsque l’on s’appelle Isabella Swan, rester en vie sans rencontrer de problèmes tient du miracle. C’est ce qui a poussé Edward à la protéger, se montrant incroyablement protecteur envers elle, et c’est ce qui l’a trahi également. Un jour, alors qu’elle arrivait au Lycée de Forks, la voiture de Tyler lui fonça droit dessus, glissant sur le verglas. Il allait l’écraser. Il aurait dû l’écraser. Mais… Edward s’est interposé entre la voiture et Bella, l’empêchant ainsi de la réduire en bouillie. Naturellement curieuse, l’adolescente cherche à comprendre ce qu’il s’est passé et demande à Edward comment cela est possible, comment il a pu la sauver alors qu’elle était si loin de lui, comment il a pu venir jusqu’à elle en si peu de temps. Bien sûr, ils avaient eu une longue discussion à l’hôpital, lors de sa nuit placée en observation. C’est à partir de ce moment que Bella remarqua que, non, Edward ne la détestait pas, qu’il n’était peut-être pas indifférent à son égard comme elle l’avait pensé depuis son arrivée dans la bourgade pluvieuse.

Ce ne fut que grâce à de nombreuses recherches et une légende sur les Quileute et les Buveurs de Sang, racontée par son ami Jacob, que Bella sut la vérité à propos d’Edward. Il était un vampire. Ensuite, les problèmes s’enchaînèrent. Un jour, à la sortie du Lycée, Bella tomba nez à nez avec un traqueur du nom de Thibault Wayne qui semblait vouloir la tuer, alors qu’elle n’était à Forks que depuis quelques mois ! Par chance, ce problème fut vite réglé, même si Edward la protégea davantage, ne la laissant plus seule lorsqu’elle sortait après les cours. Hum. Niveau protection, au moins, Charlie n’avait rien à craindre. Ce n’était qu’un léger accrochage, rien de plus, ils pouvaient tout oublier. Le reste de l’année se déroula normalement, mise à part une agression à Port Angeles lors de laquelle Edward la sauva une énième fois alors qu’elle risquait beaucoup.

Une accalmie en vue ? Même pas ! Journée de sortie pour les Cullen, Edward l’invita à venir avec eux pour jouer au baseball façon « vampire ». Extraordinaire, hallucinant, époustouflant ! Oui, enfin… Si on oublie le traqueur qui décide de nous prendre en chasse et de nous faire passer le pire week-end de notre vie. Première séparation d’Edward pour Bella, première fois qu’elle se sent aussi honteuse, qu’elle culpabilise autant et qu’elle a aussi peur. Elle fonce tête baissée dans le piège de James, échappant à ses protecteurs – Alice et Jasper Cullen – à l’aéroport alors qu’ils allaient retrouver Edward. Par chance, ils la retrouvent à temps alors qu’elle a une jambe cassée, des égratignures et une morsure qui aurait pu la transformer, mais Edward le refuse. Hors de question qu’elle devienne « un monstre »… Et, malgré toutes les discussions possibles et imaginables, il ne change pas d’avis. Pour l’instant. Lorsqu’ils rentrent à Forks, Edward l’amène au bal de fin d’année.

2005. Lors de son dix-huitième anniversaire, les Cullen – en particulier Alice – ont organisé une fête pour célébrer cela vu qu’ils « ne peuvent plus le faire ». Bella déteste les fêtes, déteste être au centre de l’attention, c’est bien connu. Mais ici, elle a accepté de jouer le jeu rien que pour eux, pour faire plaisir à Alice. Seulement, en maladroite digne de ce nom, notre jeune humaine se blesse en ouvrant un simple cadeau. Résultat ? Une goutte de sang, Jasper dans le coin… Tout dérape. Il ne se contrôle pas encore assez et cela a risqué de coûter la vie à leur protégée. Par chance, tout le monde a réagi à temps. Oui, mais le problème est qu’Edward s’en veut. Beaucoup. Trop. Il prend la décision de partir avec sa famille, après ne plus être venu en cours pendant quelques jours, et l’abandonne dans la forêt, là, au milieu des arbres. La douleur se répand en elle comme si on l’avait jetée au feu, comme si une partie d’elle était partie avec Edward. Et c’est le cas.

Dès cet instant, la Bella qui est arrivée à Forks disparait. Elle n’est plus que le fantôme d’elle-même, s’isolant complètement, ne parlant plus, ne mangeant plus, étudiant tout le temps, devenant presque une élève modèle. Mais, en dehors de ses devoirs et de ses contrôles, elle ne fait rien. Elle se contente de regarder par la fenêtre de sa chambre, endroit par lequel Edward entrait pour lui rendre visite chaque soir. Les nuits ne sont plus que des successions de cauchemars, de cris et sont synonymes de souffrance. Elle pense à lui sans cesse et espère son retour, espère que tout cela n’est qu’un mauvais rêve et qu’elle va se réveiller. Penser à Edward, prononcer son nom, entendre son nom… Tout cela est un vrai supplice. Mais tout a une fin, et elle le sait.

Bella se « réveille » grâce à Jacob Black, son meilleur ami, qui lui apporte un peu de chaleur et de repos. Enfin, c’est surtout parce que Charlie exige des changements, veut qu’elle se réveille et qu’elle bouge, qu’elle tente de tourner la page, sinon il la renvoie chez sa mère. Avec cette menace, sa fille se décide à contacter des amis et à sortir au prix de gros efforts. Elle remarque alors, lors d’une sortie avec Jessica, qu’elle a des hallucinations, des visions lorsqu’elle se met en danger. Elle le voit. Cependant, Bella n’a pas le temps d’y penser plus que cela car Jacob commence à avoir un comportement bizarre et l’abandonne littéralement alors qu’ils passaient tout leur temps ensemble. Elle cherche à le contacter, à lui parler, à savoir ce qu’il a, pourquoi il l’évite… Mais sans succès. Ce n’est qu’au bout de quelques jours qu’elle décide d’aller chez lui et qu’elle se fait rembarrer. Plus tard, l’adolescente découvre la raison du mutisme de son meilleur ami : il se transformait en loup-garou.

Les journées se succèdent alors, pareilles à elles-mêmes si ce n’est que Bella ne fait plus de cauchemars. Seulement, Edward lui manque toujours et elle ne s’en remet pas. Elle profite d’un jour où les Quileute partent chasser Victoria – qui a profité de l’absence des Cullen pour venir traquer Bella et venger James – pour sauter d’une haute falaise et manquer de se noyer. C’est là qu’Alice débarque, quelques heures après, la pensant morte. Cette dernière lui apprend qu’Edward la croit morte et qu’il veut se suicider chez les Volturi pour ne plus souffrir. Dès lors, les deux amies filent en Italie pour l’empêcher de commettre l’irréparable, pour le retenir, pour lui prouver que Bella est bel et bien vivante. Par chance, elle arrive juste à temps et le sauve mais… Les Volturi l’ont vue et savent qu’elle est au courant de tout. Ils posent un ultimatum : soit elle meurt, soit elle devient vampire. La deuxième option est choisie et prouvée par Alice. Ils rentrent à Forks.

Le reste de l’année se déroula plus ou moins normalement. Jusqu’au mois de juillet.  Jacob, jaloux de la chance d’Edward qui récupérait Bella après l’avoir lâchement abandonnée, lui avoua ses sentiments et l’embrassa contre son gré. S’ensuivit une main cassée et une visite à l’hôpital pour se soigner, sans oublier un Edward furieux. Par la suite, il fut beaucoup plus protecteur mais fut obligé de la laisser aller en cours seule lors des jours de soleil. C’est lors d’un jour de soleil qu’Allys, une amie de Jake, vint parler à Bella à propos de Jacob et que… le traqueur Ludwig von Decken décida que la jeune humaine était sa nouvelle proie. Une nouvelle traque se dessinait, mais plus grande et plus importante que la précédente. Bella ne voulait pas recommencer ce qu’elle avait fait à Phoenix, elle refusait de mêler une nouvelle fois les Cullen à tout cela… Mais, apparemment, personne ne semblait l’écouter. Ce ne fut que lorsqu’elle se retrouva seule avec Edward, après un message d’une vampire la menaçant, qu’elle put sortir et… foncer droit dans son piège pendant que les autres se battaient contre « l’armée » du traqueur.

En ce qui concerne la fin de l’année, Bella ne pouvait plus approcher de la Villa Blanche parce que les Cullen hébergeaient les jumeaux Volturi et les Denali à cause d’une histoire d’enfant immortelle ou quelque chose dans le genre. Mais elle n’en savait pas plus.

2006. On peut dire que l’année a commencé en force car, dès janvier, Mya revint à Forks pour se faire engager dans le seul hôpital de la ville. Les jumeaux étaient toujours chez les Cullen, alors Bella n’avait pas le droit de s’approcher de la Villa à moins de dix kilomètres. En fait, elle ne pouvait pas s’en approcher tout court vu la superficie de la ville… Edward ne cessait de la couver depuis cette histoire avec Mya et, apparemment, il les détestait au plus haut point. Il faut dire que, selon le point de vue de Bella, Jane était bien plus effrayante qu’Alec vu qu’elle n’avait pas hésité à torturer Edward sous ses yeux.

Seulement, ce qui a le plus rythmé l’année 2006 était le débat quant à la transformation de Bella. Comme Alice avait accepté le marché d’Aro, la jeune humaine en a profité, a sauté sur l’occasion et a réclamé un vote de tous les Cullen pour savoir s’ils la voulaient ou non dans leur famille. Tout le monde a accepté, exception faite pour Edward et Rosalie… Oui, mais cela a provoqué une énorme dispute qui a énervé Emmett, ce dernier fuyant vers le Nord pour respirer et évacuer sa colère. Entre-temps, Edward fit sa demande en mariage à Bella qui accepta après de longues hésitations et un « marché » : elle acceptait s’il la transformait et s’il promettait d’essayer de lui faire vivre toutes les expériences humaines.

Ensuite vint le marché avec Aro et sa proposition concernant les jumeaux. Ils étaient « rentrés chez eux », mais pour préserver Jane, Carlisle et Esmée ont accepté d’adopter Alec et d’essayer de le convertir au végétarisme. Les jumeaux voulaient s’échapper de Volterra depuis des mois à présent mais n’y arrivaient pas, se faisant ramener au château après très peu de temps. Durant tout ce temps, Bella était tenue à l’écart des jumeaux à cause d’Edward qui la couvait, cela dura jusqu’au mois d’avril. Une fois le calme « revenu », son cher fiancé lui annonça qu’il fallait dire à Renée et à Charlie. Par « chance » - ou malchance, prenez ça comme vous voulez –, Renée vint leur rendre visite pour annoncer une merveilleuse nouvelle à son tour. Laquelle ? Un enfant ! Un bébé, de deux mois, une fille, qui était la demi-sœur de Bella et qui se prénommait Allison. La nouvelle grande sœur ne l’a, bien entendu, pas bien pris du tout et s’est évanouie pendant qu’Edward annonçait la nouvelle de leur mariage à la mère de Bella. Ce jour-là a été sans doute l’un des plus longs et horribles de toute sa vie… Enfin, presque. Le pire était encore à venir car Renée, débordant d’enthousiasme et de bonheur, convia – força plutôt – sa fille et son fiancé chez Charlie pour un repas familial, histoire « de l’annoncer à Charlie »… Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les choses se sont… plus ou moins bien déroulées.

Cependant, et sans grand étonnement vu le déroulement de sa vie à Forks jusqu’ici, Bella ne va pas rester tranquille très longtemps. En juin, juste avant les examens, un scandale éclate dans la bourgade humide. Carlisle est accusé d’avoir laissé mourir quelqu’un et Charlie va donc les arrêter. Ils parviennent à se libérer, à s’échapper de la prison, mais… Ils se sont trop fait remarquer, les discussions reprennent sur leur passage. Ils doivent partir. Edward enlève Bella, refusant de l’abandonner une nouvelle fois – par ailleurs, elle refusait elle-même de rester ici sans eux, elle ne pouvait vivre sans les Cullen et le savait. Ils partent le soir même, réduisant en cendres toute trace de leur passage à Forks. Vers le Népal. Un nouveau pays. Une nouvelle ville. Une nouvelle vie.

Pour changer les idées de Bella et pour la sortir de sa dépression, Alice organise son mariage sans rien lui épargner, la trainant dans une centaine de magasins différents pour organiser le « plus beau jour de sa vie ». Tout le monde y est passé, aucun Cullen n’échappa à l’ouragan Alice et… Bella devait bien admettre que le résultat était magnifique. Tout était parfait, tout était là pour que cela soit un jour mémorable, dont elle se rappellera toute sa vie – et même au-delà. Il ne manquait qu’une chose : sa famille, son père et sa mère, ses amis. Cependant, le jour J, comme rien ne peut se passer à cent pourcent sans problème chez les Cullen, et comme pour lui faire oublier ce détail, un gros choc arriva. Sa mère. Renée Dwyer, au bras de Marcus Volturi. Cela fut le changement de trop pour Bella, la goutte d’eau qui faisait déborder le vase, et elle s’évanouit dans les bras d’Edward. La suite du mariage se déroula normalement, même si la tension était palpable avec les Volturi dans le coin. En route pour le voyage de noces et, surtout, la nuit de noces.

Ils firent plusieurs escales, Edward refusant de lui dire où il l’emmenait. Le voyage dura plusieurs heures, Bella n’avait jamais vu autant de paysages différents. La destination ? Elle ne la connut qu’à la fin, alors qu’elle était sur un bateau, alors qu’il faisait nuit. L’Île d’Esmée. Une île, rien que pour Esmée ! Edward lui précisa que Carlisle l’avait offerte à sa femme et la leur prêtait pour leur voyage de noces. C’était magnifique. Oubliés, tous les problèmes, oubliés ces longs mois de peine. Elle était avec Edward, ils étaient mariés, et elle nageait dans le bonheur. Littéralement. Et puis, il lui avait promis. Même si Bella savait que c’était risqué, Edward lui avait promis d’essayer et c’était la seule chose qu’elle voulait plus que tout au monde, après le fait de partager sa vie avec Edward.

Par chance, tout se déroula bien… Si ce n’est qu’ils détruisirent presque entièrement la chambre dans laquelle ils « logeaient ». Seulement, la panique naquit après quelques jours. Bella mangeait souvent, elle était malade avec des nausées et… Finalement, le retard de règles. La chose à laquelle ils n’avaient jamais pensée. Paniquée, et en même temps heureuse à l’idée d’abriter un enfant – qui plus est, celui d’Edward ! –, Bella décrocha lorsque son beau-père appela son fils. Elle était bel et bien enceinte. Ils rentrèrent, mais elle était plus que triste et choquée, elle n’en avait pas envie. Edward voulait… tuer cet enfant. Ou plutôt, cette « chose » d’après les termes qu’il avait employés. Mais elle voulait le garder, elle ! C’était un enfant, leur enfant ! Désespérée, elle appela elle-même Rosalie pour lui demander de l’aide, sachant que la vampire aimait les enfants, sachant qu’elle n’accepterait pas qu’ils tuent le bébé. C’est pourquoi, dès son retour au Népal, Bella fila dans les bras de Rosalie, son ennemie jurée dans le clan des Cullen pourtant, lui réclamant de l’aide. Elle devint sa protectrice attitrée, son garde-du-corps, celle sur qui il fallait passer si l’on voulait s’approcher de Bella.

La grossesse put alors « commencer ». Oui, mais… Ce n’était pas une grossesse normale, pas une grossesse de neuf mois comme pour les humains. Plus les jours passaient, plus elle s’affaiblissait, plus elle perdait du poids, plus ses joues se creusaient, et plus les Cullen s’inquiétaient de sa survie. Le bébé lui brisait des côtes à de multiples reprises, lui faisait vomir tout ce qu’elle avalait et n’acceptait rien. Elle avait l’impression qu’il se nourrissait d’elle-même, mais… Bella refusait de le tuer. Elle aimait cet enfant, ce bébé, son bébé, même s’il la tuait. Bien sûr, Edward ne comprenait pas et devenait littéralement fou à l’idée de la perdre, à l’idée d’être incapable de faire quoi que ce soit. Mais Bella refusait toujours, elle savait qu’elle pouvait tenir, elle savait qu’ils allaient trouver une solution. Jusqu’au jour où, par elle ne savait quel éclair de génie, Edward évoqua l’idée de combler les besoins du bébé avant les siens, comme quoi il se rapprochait peut-être plus d’eux que d’elle. Bah, pourquoi pas ? Ce fut la première fois qu’elle goûtait du sang humain et qu’elle trouva cela plutôt… bon. Qui plus est, elle ne tourna pas de l’œil, un véritable miracle !

A partir de là, Bella reprit des couleurs et se sentit bien mieux, même si le bébé prenait de plus en plus de place dans son ventre. Et puis, le plus important était qu’Edward ne considérait plus le bébé comme une chose, comme un fœtus, mais comme un enfant à part entière. Leur bébé. A eux deux. Ils l’avaient conçu, et il allait vivre. Enfin, c’était ce que Bella espérait de tout cœur au moment où, au bout de deux semaines de grossesse, elle sentit un énorme craquement à l’intérieur d’elle-même alors qu’Edward était en train de dire quelque chose. Il était choqué, il avait vu ou entendu quelque chose, il avait réalisé quelque chose et Bella ignorait ce que c’était. Elle avait mal, le bébé voulait sortir, il étouffait. Qu’ils le sortent ! L’accouchement se déroula dans la douleur la plus totale, elle se sentait mourir mais cela lui importait peu. Tout ce qu’elle voulait, c’était que le bébé vive, et rien d’autre. Elle ne lâcha prise que lorsqu’elle sut que Carlisle avait tiré le bébé de son ventre. Et elle sombra ensuite dans l’inconscience.

Vie vampirique :
Après deux jours de transformation et de douleur, Bella s’éveilla en vampire, les yeux rouge sang. Elle put, après avoir chassé avec l’aide d’Edward, rencontrer sa fille, sa petite Renesmée. Enfin… Petite, tout est relatif. Leur fille grandit anormalement vite, après seulement deux jours, elle donnait l’impression d’avoir quelques mois et Carlisle ignorait comment arrêter la croissance, comment la ralentir, si cela signifiait que Renesmée n’avait que quelques jours à vivre ou plus. Cependant, les Cullen n’eurent pas le temps de plancher sur la question. Pourquoi ? Après les traqueurs, les vampires, les vengeances à l’égard de Bella… Une guerre ! Oui, une guerre à l’encontre des Volturi de la part des Roumains – ou plutôt, du Roumain restant qui voulait venger son frère d’après ce que Bella comprit. Il voulait répandre l’existence des vampires à travers le monde, l’annoncer aux humains pour assouvir leur règne et ne plus être obligé de se cacher. Résultat ? Les Italiens convoquèrent tout le monde pour une réunion, pour savoir qui était contre les Volturi et qui était avec eux.

Les Cullen s’en allèrent donc vers l’Europe de l’Est pour la réunion. Normalement, une réunion se passe sans problème, est on ne peut plus ennuyeux et on finit par s’endormir. Oui, mais non, rien n’est épargné à Bella car c’est ce jour-là que la nouvelle-née découvre que sa mère est vampire et qu’elle a… une petite fille. Une petite fille à peine plus jeune que Renesmée. Inutile de tergiverser durant des heures pour savoir qui était le père. Et cette fille devait rester avec les Cullen le temps de la guerre, accompagnée de Jane car elle ne voulait pas rester seule avec des inconnus. Cela fut le coup de grâce pour Bella qui resta de marbre lorsque sa mère vint la trouver et l’embrasser… Elle fit à moitié un scandale devant environ trois cents vampires, s’éloignant de sa fille le cœur brisé. Ce ne fut que par tristesse et par peur de perdre sa mère également que Bella la rattrapa. Elle dissimula tout ce qu’elle ressentait le restant de la réunion et ils repartirent vers le Népal, deux personnes en plus dans leurs voitures. Ce ne fut qu’à l’arrivée au Népal que Bella craqua littéralement et que son beau-père dut la récupérer et « recoller les morceaux ».

Les mois passèrent, la guerre continuait inlassablement. Mais ce n’était pas plus calme pour autant, cela ne l’est jamais chez les Cullen. Le passé finit toujours par nous rattraper… C’est ce qui arriva à Bella. Un jour, alors qu’elle jouait tranquillement dehors avec Renesmée – et aussi pour la protéger de Jane contre qui elle n’avait pas une confiance aveugle –, un énorme loup débarqua près du Chalet. Mais pas n’importe lequel… Un énorme loup brun/roux que Bella connaissait très bien, ou du moins, qu’elle avait très bien connu dans le passé. Jacob Black. Il l’avait retrouvée, après cinq mois de recherche. Une profonde haine se lisait dans ses yeux avant qu’il ne se fige totalement alors que Jane était dans les parages. Par réflexe, et pour éviter une torture à son ancien meilleur ami, Bella fonça sur ce dernier et s’y accrocha pour le faire bouger, pour le protéger, pour… N’importe quoi. Et il ne se produisit rien. Elle avait un don. Un DON ! Seulement, une nouvelle ne débarque jamais toute seule : Jacob s’était imprégné de Renesmée, ce que Bella prit très mal. Cela se traduisit par une énorme baffe qui envoya valser Jacob à quelques mètres de là. Quelques explications furent données mais… L’absence, le changement d’état de Bella, l’imprégnation… Tout cela laisse des marques. Les deux anciens meilleurs amis s’évitent franchement depuis le retour du loup.

Mais, naturellement, un problème ne surgit jamais tout seul. Jasper et Alice, restés sur leur fin lors de la première visite des jumeaux, ont voulu se venger en cuisinant Jane qui avait de nombreuses cicatrices sur tout le corps. Ils cherchaient à savoir pourquoi et, comme ils venaient de se faire engueuler par Carlisle, ce fut Bella qui fut chargée de « récolter des informations ». D’un côté, elle s’inquiétait pour les jumeaux, de l’autre, elle voulait éviter une nouvelle engueulade à Edward qui cuisinait Jane une énième fois.  Elle la suivit donc jusque dans la forêt, écartée du Chalet Blanc pour être tranquille. Par elle ne savait quel miracle, Jane finit par parler, par se confier avant de recevoir un coup de fil de son frère qui comprit qu’elle n’était pas bien. Pourquoi ? Parce que Jane évoquait son histoire et tout ce qu’il s’était passé, il était donc normal qu’elle ne soit pas bien en répondant au téléphone. Cela n’a que peu d’importance, me direz-vous, mais détrompez-vous.

Alors que Jane et Bella discutaient dans la forêt, Carlisle reçut un coup de téléphone d’Italie. Alec était mort, parce qu’il avait été distrait à cause de l’état moral de sa sœur. Tout était de la faute de Bella. A partir de ce moment, elle veilla sur Jane comme sur sa fille, restant à côté d’elle pour la forcer à boire, pour ne pas la laisser seule, pour ne pas l’abandonner dans son deuil. Elle comprenait sa peine et s’en voulait, elle comprenait ce que leur « protégée » ressentait. Elle empêchait quiconque de s’approcher de Jane qui ne contrôlait plus son don. Mais, au bout de deux mois, les Cullen l’obligèrent à faire évoluer son propre don car ils refusaient de la laisser seule avec la Volturi. Elle était trop dangereuse, selon eux, et Bella restait plus fragile que Jane. Par la force des choses, tous les Cullen finirent par veiller sur elle. 2007 commençait donc par un deuil et une « garde  rapprochée » pour Bella.

Les choses se calmant ensuite plus ou moins, la reprise des cours au Lycée pour les Cullen approchait. Bella était de plus en plus stressée et sa première journée fut un vrai calvaire, même s’ils ne reprirent les cours que dans le courant du mois de mars. Edward ne la lâchait pas d’une semelle et l’obligea à suivre tous les cours… Jusqu’à ce que Renesmée soit envoyée à l’hôpital pour un empoisonnement. Dès le premier jour. Fort heureusement, après un lavage d’estomac, leur fille fut sur pieds en un rien de temps même s’ils durent la forcer à manger pendant un moment. Seulement, sans doute les Volturi pensaient-ils avoir été trop calmes ou peut-être pensaient-ils que les Cullen les oubliaient mais… Quoi qu’il en soit, Orlin Volturi leur rendit visite pour « parler à Jane », ou plutôt, faire un repérage des lieux pour pouvoir mieux l’enlever ensuite, un mois plus tard.

La réaction des Cullen lorsqu’ils réalisèrent que Jane avait disparu ? « Allons la chercher » ! Bien sûr, personne n’était pour cette idée, surtout que Carlisle comptait y aller seul. Autant se jeter dans la gueule du loup, en somme. Par chance, l’ensemble des Cullen put le convaincre de se faire accompagner par Jasper et Alice, juste au cas où. Tout est donc réglé, direz-vous ? Non, bien sûr que non… Ce fut aussi le moment où Jacob déboula – comme à son habitude – en interrompant la « réunion » pour dire à Edward et Bella que Renesmée avait tout découvert, qu’elle se doutait de sa nature de loup et qu’elle voulait des réponses. Tous les efforts de ses parents et de Jacob pour cacher cela furent réduits à néant en l’espace de quelques minutes. Par chance, leur fille prit la nouvelle relativement bien, la nature de Jake ne la dérangeant pas le moins du monde, et Carlisle, Alice et Jasper revinrent même au Népal accompagnés de Jane, quelques jours plus tard.  Tout est bien qui finit bien !

Ou plus ou moins. Au mois de mai, fait ce qu’il te plait, même revivre si tu le souhaites ! C’est ce qu’a fait Alec… Un jour, il revint avec Orlin, lui-même qui avait enlevé Jane auparavant, devant le regard ahuri de tous les Cullen. Apparemment, Aro l’avait enfermé durant la guerre, juste après le coup de téléphone passé à Jane, pour « développer le don » de sa sœur. Depuis ce jour, les jumeaux parlaient de vengeance et cherchaient un moyen pour réduire les Volturi en cendres, pour leur faire comprendre leur bêtise en s’attaquant aux jumeaux. Bella, ne voulant pas qu’ils commettent une énorme bêtise, se mêla de leur discussion avec un certain manque de tact. Cela provoqua une bagarre et la « scission » des Cullen et des jumeaux, ils perdirent totalement confiance en eux et… rejoignirent Aro lorsqu’il vint leur « rendre visite » quelques jours plus tard. Depuis, la culpabilité ronge Bella et les Cullen ne vont certainement pas la laisser oublier cette histoire.


Le joueur

♦ Prénom : Nathalie
♦ Activité sur le RPG : 7 jours/7
♦ Je suis : Enfant [] Adolescent [] Adulte [X]
♦ J'ai lu les livres ou vu les films : Oui [X] Non []
♦ Rang spécifique souhaité : Chasseur de Vampire [] Vampire [] Nomade [] Vampire Végétarien [] Traqueur [] Nouveau-né [X] Nomade Végétarien [] Garde Volturi []
♦ Ce que je voudrais ajouter : Vous avez vu, je me lance enfin dans la mise à jour de ma fiche !


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