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 [Italie] Première fugue et engueulade

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MessageSujet: [Italie] Première fugue et engueulade   [Italie] Première fugue et engueulade EmptyLun 13 Jan 2014 - 19:11

Alec s'appuya légèrement contre le mur, mains dans le dos, tête un peu baissée. Il attendait que les frères aient fini de statuer sur son "cas", comme ils disaient. Il soupira légèrement, relevant la tête, le regard perdu vers les moulures du mur, les dents serrés. Il attendait là depuis un bon moment maintenant, seul, dans cette partie du château où les gardes se rendaient rarement, et pour cause. C'était ici qu'Aro et ses frères travaillaient ou discutaient. Ici qu'Aro lui avait dit d'attendre. Où était Jane ? Dans leur chambre ? Coincée avec Démétri et Félix ? Où l'attendait-elle quelque part dans le château ? La dernière hypothèse était la plus probable... Il soupira encore un peu, silencieux.

Bon, d'accord, c'était de sa faute. C'était lui qui avait refusé de rester au château, puis avait incité sa sœur à fuir. Donc il était responsable, point final, ce qui était sans doute la conclusion d'Aro puisqu'il avait laissé Jane tranquille. Une bouffée de rancœur enflamma le jeune nouveau-né. Il était dégoûté de n'avoir même pas pu quitter la ville ! Démétri leur était tombé dessus en contrebas de la ville, suivi de très près par Aro. Ils s'étaient fait crier dessus pour avoir fuit le château, alors qu'ils n'avaient que deux semaines et auraient pu attaquer des habitants de la ville, puis s'étaient fait ramener quasiment par la peau du cou.

Il s'appuya un peu plus contre le mur, rongeant son frein. Il commençait à être un peu nerveux, et se demandait ce qui l'attendait. Il ne connaissait encore que très peu de choses de ce clan, voir quasiment rien, ni ce que pensaient ses chefs de ce genre d'attitude. De toute façon, Alec n'avait que très peu de considération pour eux, pour ne pas dire aucune. A ses yeux, ce n'était que trois monstres, à la tête d'un clan affreux. Il passa un doigt sur les cicatrices de son poignet, identiques à celles qu'il portait aux chevilles, au cou, et au niveau du cœur. Partout où Aro l'avait mordu pour le "sauver". Le sauver... Pourquoi ne l'avait-il pas laissé mourir, tout simplement ?

- La mort aurait été préférable, marmonna-t-il dans un souffle.

Il remit ses bras dans son dos, contre le mur, et attendit, encore et toujours. Deux semaines. Neuf jours à agoniser, puis deux semaines en tant que vampires. Deux semaines que la soif le brûlait autant que le bûcher, deux semaines qu'on était sans cesse sur leur dos, qu'Aro ne les lâchait plus. Ils apprenaient à parler Italien, l'écrire, le lire. Et à contrôler leurs dons, ce qui était loin d'être gagner. Alec doutait franchement d'être capable d'en faire quelque chose un jour, et mettait la plus mauvaise volonté du monde à apprendre à s'en servir, estimant que c'était à cause de ça qu'il vivait toujours.

Il entendit du bruit. On venait sans doute le chercher. Il se redressa lentement, amer et silencieux. Deux semaines... Et c'était loin d'être fini.
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Damon Raven

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MessageSujet: Re: [Italie] Première fugue et engueulade   [Italie] Première fugue et engueulade EmptyMer 22 Jan 2014 - 23:13

Les quatre saisons de Vilvaldi raisonnaient doucement dans l’appartement de Caius et de Dora. Un humain, fraichement cueillit les jouaient pour le plaisir des deux immortels. Malgré son côté inhumain, le vieux Volturi aimait beaucoup écouter ce genre de musique. Cette dernière élevait son âme et lui permettait d’imaginer une ou deux tortures supplémentaires à infliger à ses gardes. Dépecer et recoller, voilà la nouvelle idée qui venait de lui parcourir l’esprit. Après tout, les quatre saisons revenaient chaque année de la même manière qu’un membre de vampire pouvait se recoller après avoir été arraché « doucement ». Bien sûr, certain serait tenté de dire que cette composition de Vilvadi était plus tardive que ça. Sauf qu’ici, nous considérons qu’il avait été composé une vingtaine d’années plus tôt pour le bon plaisir de Caius Volturi. Si cela dérangeait l’un de nos lecteurs, il pourrait cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite de leur fenêtre. Mais enfin, il serait bon de revenir à notre récit et à la création des tortures que le chef de la garde aimait à faire en écoutant ce compositeur de l’époque.

La musique classique était l’une des rares choses à transporter Caius dans des délires mortels pour ses victimes mais jouissifs pour lui-même. Il prenait donc un malin plaisir à se délecter des dernières nouveautés et ceux au plus grand malheur des petits rebelles de la garde. Et, un vague pressentiment l’habitait à ce sujet, il allait bientôt en rencontrer deux plutôt coriaces. La torture et la musique classique étaient deux faces d’une même pièce aux yeux du monstre italien. Car oui, ce dernier était bien un monstre. Du moins c’était la vision qu’avaient de lui un bon nombre de vampires et d’humain. Et cela lui passait au-dessus de la tête. Ses seuls plaisirs étaient la torture et la guerre, le sang et les massacres, les complots et les révoltes. Tout cela lui permettait de révéler son don dans un domaine que peu de monde maitrisait. Celui du bain de sang. Et puis, à l’époque de la grande révolution artistique qui secouait l’Italie, il n’était pas anodin qu’un ou deux mille humains disparaissent à cause d'un vampire gourmand d'un art détesté et banni par la famille trinitaire qui régnait déjà, et oui mon pauvre Alec, sur le monde.

-Maitre ! Maitre ! Maitre !

Ce son qui sortait de la bouche d’un garde Volturi massacrait complètement le chef-d'oeuvre que Caius était en train d’écouter. Le vieux vampire aurait bien voulu supprimer la vie de ce petit impertinent mais Aro n’aurait pas vraiment apprécié cela. Trois gardes avaient déjà passé l’arme à gauche depuis le début de la semaine. Et nous n’étions encore qu’au mardi.

Caius: - pourquoi donc osez vous hurler comme un porc que l’on égorge ?

Le jeune garde perdit un peu de sa contenance en entendant la pointe que venait de lui lancer l’homme qu’il craignait le plus. Enfin cela ne devrait pas vous choquer. Ce n’était pas comme si toutes les gardes du château craignaient le plus jeune des trois Volturis. À croire qu’il savait que la moindre fuite, fugue, rébellion, que le moindre orteil de travers leur coutait une petite séance de massage privé avec ce dernier. Enfin ceux qui ne le savaient pas encore allaient bientôt le découvrir à leurs dépens.

Le garde expliqua rapidement la situation, un jeune gamin avait tenté de s’enfuir. Cela faisait à peine deux semaines que ce dernier était présent et il commençait déjà… Que pouvait donc bien lui trouver Aro pour laisser en vie un petit abruti pareil . Caius allait devoir lui faire comprendre qu’il n’était pas intelligent de vouloir fuir le seul clan au monde capable de vous retrouver en moins de deux jours… Et cela sans le moindre effort. Quel petit impertinent ce petit nouveau était-il donc ?

Le vieux garde quitta donc ses appartements pour se rendre dans le couloir ou le rebelle de service l’attendaient. Une fois devant ce dernier, un rire noir se fit alors entendre. Ce petit gamin était si chétif que le maitre de la torture allait devoir se retenir pour ne pas le tuer au premier coup de fouet qu’il lui donnerait. La séance promettait de devenir intéressante. Combien de temps ce dernier allait-il tenir ?

Caius: - Pour commencer, je tenais à t’informer que ta soeur est enfermée dans une pièce de ma création et autant te dire qu’au moindre faux pas de ta part, il se pourrait bien que j’aille lui faire une petite visite. J’en ai bien sûr l’autorisation comme tu dois t’en douter.

Le vieux Volturi fit entrer le gamin dans la salle de torture qui se trouvait à l’autre bout du couloir. Cette dernière était tapissée de tout ce qui pouvait être utile dans l’éducation et la soumission de petit impertinent de ce genre.

Caius: - pourquoi as-tu tenté de te sauver ? Où voulais-tu aller ? As-tu oublié qui étaient tes maitres ? Es-tu fou tout simplement ? Je ne supporte pas les petits dans ton genre. Autant te dire que cela m’énerve au plus haut point de devoir m’occuper de toi. J’aurais largement préféré rester à imaginer de nouvelle torture dans mes appartements. Mais passons cela, tu seras mon cobaye pour la journée je pense. Es-tu prêt ?

Le tortionnaire déchira d’un geste rapide les vêtements du garde. Il ne lui restait plus que son caleçon. Caius l’attacha rapidement au mur et sortit un fouet plutôt fin. Il expliqua rapidement à Alec qu’il allait subir autant de coup de fouet que de demi-journée passée dans le château. Bien sûr, le vampire avait omis de signaler que le fouet était imbibé de venin et chauffé un tantinet histoire de procurer une petite souffrance bien sympathique. Le fouet claqua alors rapidement l’air et la litanie des claquements rompit rapidement le calme du couloir.

Caius: - Répond ! Ou je recommence...
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MessageSujet: Re: [Italie] Première fugue et engueulade   [Italie] Première fugue et engueulade EmptyJeu 23 Jan 2014 - 13:44

Alec tourna la tête. Il s'attendait à voir Aro, mais ce fut son frère qui arriva. Il retint une grimace. Formidable ! Le psychopathe blond qui avait faillit faire noyer sa sœur six ans plus tôt... Alec l'avait fortement pris en grippe ce jour-là, et ce n'est pas leur enlèvement qui avait amélioré les choses. Ce sale type n'était qu'un taré, un psychopathe complètement tordu qui ne vivait que pour le plaisir de faire souffrir. Il ne connaissait pas très bien son rôle dans ce clan de malades. Il avait compris qu'Aro était le véritable chef, mais que faisaient ses frères ? Marcus, sûrement pas grand-chose, il était plus mort que vif. Et l'autre bourreau ? Le cinglé ? Il s'arrêta devant lui, puis éclata d'un rire de dingue. Alec serra les dents. S'il avait encore eu des doutes sur la santé mentale précaire de ce type, ils étaient désormais levés.

Caïus - Pour commencer, je tenais à t’informer que ta soeur est enfermée dans une pièce de ma création et autant te dire qu’au moindre faux pas de ta part, il se pourrait bien que j’aille lui faire une petite visite. J’en ai bien sûr l’autorisation comme tu dois t’en douter.

Jane... Il revit le visage de sa sœur, souriante, passer en flèche dans son esprit. Il suivit Caïus, tête baissée, jusqu'à une pièce au bout du couloir. Jane. Il n'était pas question que ce malade mental l'approche ! Elle n'y était pour rien, dans cette histoire. C'est lui qui l'avait incité à fuir, à partir. Ils n'avaient même pas pu quitter la ville de toute façon. Ni lui ni Jane ne savaient ce que signifiait être un "traqueur" et ils l'avaient appris à leurs dépends. Et Démétri n'en devenait qu'un peu plus détestable. Alec fit face au frère du chef du clan. Il avait tout de même peur. Il n'avait aucune idée de ce qu'on pouvait lui faire. Il connaissait trop peu ce monde, mais avec ce taré, il s'attendait à tout.

Caïus - Pourquoi as-tu tenté de te sauver ? Où voulais-tu aller ? As-tu oublié qui étaient tes maîtres ? Es-tu fou tout simplement ? Je ne supporte pas les petits dans ton genre. Autant te dire que cela m’énerve au plus haut point de devoir m’occuper de toi. J’aurais largement préféré rester à imaginer de nouvelles tortures dans mes appartements. Mais passons cela, tu seras mon cobaye pour la journée je pense. Es-tu prêt ?

Ses "maîtres" ? Le mot hérissa Alec, mais avant qu'il n'ait eu le temps de répliquer, Caïus lui arracha tout à coup ses vêtements, puis le poussa contre le mur avant de l'y attacher. Alec avait blêmi, et s'était débattu en vain. L'autre psychopathe était son dos, il lui dit calmement ce qu'il comptait lui faire. Le jeune garçon pâlit un peu plus, la colère et la peur se disputant la place dans son esprit. Lorsque le premier coup claqua, il retint de justesse un cri. Il se crispa, fermant les yeux.

Jane.

Il se concentra sur elle, occultant le reste. Uniquement sur elle et rien d'autre. Il se focalisa sur son visage, son sourire, sa voix, son odeur, son rire, ses expressions, sa manière de bouger et de courir, son regard lorsqu'elle ne comprenait pas quelque chose. Juste sur elle, sur sa sœur... Elle était désormais son seul repère dans son monde de fous, sa seule et unique raison de vivre. Il s'accrochait sur son image pour ne pas crier, ne rien dire, simplement attendre que ça cesse. Il avait déjà subit pire. Ce que lui infligeait Caïus n'était rien en comparaison du bûcher, puis de la longue agonie qui avait d'eux des vampires. Lorsque les coups s'arrêtèrent, il ne bougea toujours pas.

Caïus - Répond ! Ou je recommence...

Répondre à quoi ? Alec mit un moment avant de se souvenir de ce qu'il lui avait hurlé avant de le frapper. Il ne répondit pas tout de suite, sonné. Il était encore un enfant, quoi qu'on en dise... Il n'avait pas treize ans. Il regarda ses liens d'un regard trouble. Toute sa vie n'aura été faite que de ça. Des liens, des chaînes, une prison. Le pouvoir noir que lui et sa sœur abritaient en eux les avaient changés en parias.

- Il suffisait de nous laisser crever, marmonna-t-il enfin. Personne ne vous a demandé de nous ramener d'Angleterre, personne n'a demandé à Aro de nous sauver ! On ne savait même pas où on allait en partant d'ici...

Ce qui était la stricte vérité. Ils ignoraient même qu'il ne faudrait qu'une minute à Démétri pour les rattraper. Alec retint un gémissement, tête baissée. Que fichaient-ils ici, de toute façon ?! Pourquoi Aro s'était-il donné tant de mal pour les arracher à la mort ? D'autres vampires étaient bien plus puissants qu'eux et pourraient être plus utiles aux Volturi. Eux deux ne voulaient pas de l'immortalité.

- Laissez-nous partir, finit-il par reprendre. Ou tuez-nous, sinon ! On ne vous sert à rien. On ne sait pas se battre, on est incapables de se servir de nos dons. Des dons qui ne sont même pas puissants, d'ailleurs. A quoi ça sert que vous nous gardiez ?!

Il tourna enfin la tête vers le vieux vampire. A quoi cela servait-il en effet ? Même s'ils apprenaient à se battre, ils ne grandiront pas et feront donc toujours une cible facile ! Ils n'avaient rien à foutre dans ce clan de malades, strictement rien. Ils ne pouvaient même pas se servir à volonté de leurs dons. En résumé, ils étaient inutiles, pour les Volturi.

- Et je ne vous considérerais jamais comme nos maîtres...
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MessageSujet: Re: [Italie] Première fugue et engueulade   [Italie] Première fugue et engueulade EmptyLun 27 Jan 2014 - 11:21

Les réponses du jeune Alec étaient remplies de l’insouciance et de la témérité d’un enfant combinée à celle d’un nouveau. L’impertinence qui caractérisait cela avait au moins un avantage. Celui de mettre Caïus hors de lui. Ce petit ne comprenait donc pas encore à qui il avait affaire. L’Italien allait donc devoir passer aux choses sérieuses. Enfin du moins, plus sérieuses que le fouet qui n'est pas encore trop traumatisant. S’il allait trop loin avec le marmot, Aro ne lui pardonnerait pas et serait sur son dos pendant au moins mille ans. Cela juste à cause du précieux don qu’avait l’enfant. Comment pouvait-on désirer collectionner autant que son frère ? La torture était quelque chose de plus passionnant, de plus fantastique. La torture était un peu comme l’eau et le lait qui ruisselaient de la terre promise aux hébreux. La torture était comme un chef-d'oeuvre de maître : incompréhensible pour les non-initiés mais puissant et jouissif pour le connaisseur. La torture était peut-être la seule chose qui motivait Caïus à se lever le matin. Enfin passons donc cette description de ce plaisir si jouissif à ses yeux. Personne n’arriverait jamais à le comprendre. Il était bien un incompris.

Le vieux vampire décrocha Alec de ses liens et le souleva tranquillement du sol. Ce gamin était si frêle qu’il pourrait le briser en moins de deux. Caïus n’aurait qu’à serrer un peu plus fort pour le briser complètement. Pour le rendre inutile et s’attirer les foudres d’Aro.

Caius: - Vous laissez mourir ? Je n’ai que ce désir. Cependant mon frère ne supporterait pas l’idée. Alors désolé pour toi mais non. Nous ne te laisserons pas mourir. Toi et ta sœur allez être nos plus précieux combattants que cela te plaise ou non. Quant à savoir si tu nous considéreras un jour comme tes maîtres. Ne fais pas trop de rêves là-dessus, peu importe ton ressenti. Vous nous appartenez. Vous ne représentez rien d’autre à nos yeux que de simples jouets.

Caïus envoya voler Alec à l’autre bout de la pièce. Puis, d’un mouvement rapide il le récupéra juste avant qu’il ne s’écrase sur le sol. Un rire noir s’échappa à nouveau du vieux Volturi. Cette situation lui procurait un plaisir monstre. Un plaisir qu’il n’avait plus connu depuis bien longtemps.

Caius: - Je te conseillerais bien d’éviter de me mettre en colère. Mais je n’aurais alors aucun plaisir à te martyriser. N’oublie pas une seule chose : C’est moi et mes frères qui possédons tout pouvoir de vie ou de mort sur toi et ta sœur. Personne d’autre. Comprends-tu cela ?

Le vampire claqua alors Alec par terre et sortit tranquillement de la pièce en ordonnant qu'on l’enferme quelques temps histoire de mieux lui faire comprendre la bêtise de son action. Une bonne dizaine de jours de cachot n’allaient sûrement pas lui faire de mal… Enfin presque pas…
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